« Eh, l’IA, ici, c’est moi la cheffe ! »

Récemment, j’ai eu la grande chance d’allier ma passion pour les langues et l’art à mes convictions dans un projet exaltant.

L’artiste iranien Azarakhsh Farahani, fervent défenseur de la liberté et de l’égalité, m’a demandé de traduire son texte poétique pour sa vidéo artistique. Il souhaitat la présenter en allemand lors de son expo à Berlin. Ça paraît tout simple, non ? Eh bien, pas tant que ça !

Le texte devait rimer, être concis et parfaitement calé sur le rythme des images. Exactement ce que j’adore – créer l’harmonie entre mots et images.

Ensuite, j’ai eu l’honneur de faire le voiceover – ma voix pour porter cette déclaration puissante. J’étais aux anges ! Mon ingénieur du son personnel, Tommy Heisler, a géré le son avec brio – tout était parfait de A à Z..

Ce qui rend ce projet si spécial pour moi, c’est bien plus que le défi créatif. Azarakhsh est devenu un ami grâce à nos échanges, et je suis fière de l’aider à diffuser son message dans les pays germanophones. Ce travail me donne le sentiment de faire quelque chose d’utile, car il reflète mes valeurs : liberté et égalité pour tout le monde.

Et pour couronner le tout, la réaction du public à l’expo de Berlin : Azarakhsh m’a dit, tout enthousiaste, que les germanophones avaient adoré la version allemande – ils l’ont trouvée parfaite ! Pour moi, c’est le meilleur compliment.

Enfin, à l’heure où l’intelligence artificielle tente de prendre le relais, c’est un vrai bonheur de participer à un projet qui exige créativité et empathie humaines.

Les machines peuvent faire beaucoup de choses, mais capter l’essence des émotions et créer de véritables œuvres d’art, c’est un défi qu’elles ne sauront jamais relever.

Finalement, cette situation nous pousse à être plus créatifs pour naviguer dans un monde en constante évolution, et c’est fantastique !

Alors, à l’IA, je dis avec un clin d’œil : « Eh, l’IA, ici, c’est moi la cheffe ! »